Le traitement qui s’attaque au « mauvais bleu »
La lumière bleue (ou « ultraviolet proche ») se trouve à l’extrémité du spectre de lumière visible, à côté de la lumière ultraviolette invisible. Elle se situe entre 381 et 500 nanomètres. Le « bon bleu » est à 480 nm (bleu turquoise) et le « mauvais bleu » à 435 nm (bleu violet). Comme il fait partie du spectre visible, il n’est donc pas arrêté par les tissus oculaires (cornée, cristallin) comme le sont la plupart des rayonnements UV (UVB et C).
Effets positifs :
La lumière bleue stimule des récepteurs rétiniens spécifiques (mélanopsine) qui régulent le rythme circadien.
Elle permet d’augmenter le niveau d’éveil car sa lumière stimule certaines cellules nerveuses et est perçue par notre corps comme la « lumière de l’action ». (tests CNRS)
Elle est nécessaire à notre équilibre métabolique, autant que les vitamines, minéraux ou antioxydants.
Effets nocifs :
Elle affecte donc le sommeil et l’exposition nocturne aux équipements numériques peut donc affecter la qualité du sommeil.
Elle augmente les risques de cancer car des niveaux de mélatonine trop bas pourraient être corrélés avec un plus grand risque de cancer (cancer du sein, de la prostate) mais aussi diabète, maladies cardiaques et obésité.
Elle affecte aussi les yeux puisqu’une réaction phototoxique de la rétine est possible, et pourrait s’avérer un facteur de développement de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA).
Le traitement bleu permet de filtrer le bon bleu du mauvais et ainsi d’assurer une parfaite protection de l’œil et surtout de la rétine
Merci pour votre lecture
Source : https://www.novacel-optical.com/
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